Not masterpiece but quite decent
i finally finished Kiken Na Venus. Originally intended to finish this once it finishes airing but the subbing team Incharge took break in the middle so i was left with no option but to wait.A drama based on Keigo Highashino's novel, starring Satoshi Tsumabuki and Shota Sometani is always a safe bet for me but surprisingly overshadowing both of them, Yuriko Yoshitaka was the one who owned the drama. Her character was full of expressions and charm. Such characters are risky as they likely become annoying but Yuriko somehow pulled it off pretty well.
There was mystery in the drama but it was more about twisted mind of rich people and what greed can do to people.
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Buscaba cobre y encontré oro con este drama.
Me la pensé mucho al ver este drama, porque honestamente había visto adelantos del primer cap. y leí que el protagonista es un veterinario con debilidad con las mujeres... no me llamaba tanto la atención pero decidí verla por buenas críticas.Mi problema con kiken na venus, principalmente es que son tantos personajes que confunden bastante, porque tienes que dominar el hecho de que "x" es hermano/hijo de "y", creo que hasta el capítulo 5 entendí al 100% el parentesco del prota y su madre con el resto, pero ya que lo dominas/ o fuera de eso... gosh, después del capítulo 3 no pude parar de ver, se volvió una adicción saber más y más.
La historia está muy bien escrita, en cada capítulo hay un buen plot twist, creo que es de esos dramas digno de representar al género de misterio/suspenso, cosa en la que son buenos los Japoneses.
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30 millions d'héritage
Une histoire d'héritage, une disparition mystérieuse, une femme fatale surgit de nul part et ... un vétérinaire obsédé par la gent féminine qui aligne les râteaux comme un chien les puces sur son dos. Voilà les ingrédients explosifs d'un drama à énigmes comme je les aime. Réalisation impeccable, casting d'enfer. On retrouve avec plaisir Yoshitaka Yuriko méconnaissable dans son rôle de jeune épouse trop mignonne, à des kilomètres de son personnage de trentenaire dégouté des hommes dans Tokyo Tarareba Musume.Kiken na Venus est un vrai polar à la Agatha Christie où l'on découvre avec crainte ou surprise, à chaque épisode, les personnalités des membres de la belle famille de notre véto. Si la mise en scène des premières minutes peut faire sourire, notamment lors de la présentation de cette riche famille un peu trop cliché, dans la méchanceté, la déférence filiale ou la raideur dans ce manoir et cette ambiance complètement hors sujet, au Japon, en 2020, très vite chaque second rôle révèle des personnalités multiples.
Fujioka Dean a comme toujours la grande classe. Sauf au début, quand il fait son fils fils à sa maman. ll m'a fait peur d'ailleurs, j'ai cru qu'il ne savait plus jouer. Il tient, avec les deux acteurs principaux, à bout de bras la série et l'emmène vers l'une des meilleures du genre.
Tsumabuki Satoshi, que l'on voit trop rarement dans un drama (très prolifique au cinéma par contre), excelle dans ce rôle de vétérinaire trop maladroit avec les femmes. Un personnage que Tsukasa Hōjō (le créateur de City Hunter et Cats Eyes ) n'aurait pas répudié. Les récurrences sur ses rêves éveillés font toujours sourire et deviennent une énigme dans l'énigme pour le spectateur. Plus généralement trouver le vrai du faux dans cette série est un véritable plaisir et on se met à chaque fois à la place de notre ami des bêtes à se demander si on peut faire confiance à cette personne, en commençant par notre mystérieuse vénus qui décidément cache encore bien des secrets.
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