Un peu (trop) de sérieux, s'il vous plait
Alors que Kimi to Sekai ga Owaru no Hi est devenu une référence de série de zombies x romance, les producteurs s'attachent à entretenir la flamme avec différentes Side Story et une 4e saison en 2023, que l'on ne pensait pas possible. Rien de nouveau, dans le monde des séries en streaming et encore moins de celle au long cours comme Walking Dead ou Game of Throne, vous allez me dire. Mais la bonne idée, ici, est de prendre le parti de l'humour pour un des dramas japonais le plus anxiogène de ces dernières années. C'est donc entre le visionnage de la saison 2 et 3 que je m'attelle à savourer une bouffée d'air frais dans ce monde à l'odeur fétide. Le pari de faire rire avec les zombies sera-t-il aussi bien réussit qu'un Shaun of the Dead ou un Kamera wo Tomare na ! ?
Tout commençait de manière idyllique. Un personnage principal plus looser, tu ne fais pas, en la présence de Emoto Tokio, tellement habitué au rôle, mais qui le fait tellement bien. Les situations sont délirantes. Les références aux jeux vidéos intéressantes, mais très vite l'apparition de nos héros nous ramène à un déroulement classique de l'histoire dans le monde de KSOH. Méfiance, trahison, violence et sens du sacrifice. Heureusement, une pointe de romance qui manque tellement à la saison 3, ajoute du sel à un film qui aurait pu être bien plus fun, voir délirant. Diffusée après la saison 3, l'action se situe bien entre la 2 et la 3 et c'est avant cette dernière à qu'il faut le voir. Pas de spoil pour la 3, mais une meilleure cohérence avec la fin de la 2. La situation, classique pour le genre, d'une communauté de jeunes dans un Resort Hôtel est survolé, mais n'a rien de révolutionnaire.
Même si nos héros habituels ont la kakkoi classe internationale, comme d'habitude, me direz-vous, on a du mal à s'habituer à la transformation d'un looser en super héros en seulement 1 h 20 de film. On appréciera tout de même, une nouvelle fois, la prestation de Yokomizo Naho, à la fois solaire et terrifiante. La présence de Izumi Rika ou Komiya Rio fera également plaisir aux deux genres. Mais tout ça est insuffisant et le matériel d'origine est gâché par un manque d'ambition dans le délire. Difficile après cela de faire une autre side story prenant le parti de l'humour. Mais qui sait, l'univers est dense et Emoto Tokio aurait beaucoup de chose à raconter sur ses origines de Zombies Hunter.
Tout commençait de manière idyllique. Un personnage principal plus looser, tu ne fais pas, en la présence de Emoto Tokio, tellement habitué au rôle, mais qui le fait tellement bien. Les situations sont délirantes. Les références aux jeux vidéos intéressantes, mais très vite l'apparition de nos héros nous ramène à un déroulement classique de l'histoire dans le monde de KSOH. Méfiance, trahison, violence et sens du sacrifice. Heureusement, une pointe de romance qui manque tellement à la saison 3, ajoute du sel à un film qui aurait pu être bien plus fun, voir délirant. Diffusée après la saison 3, l'action se situe bien entre la 2 et la 3 et c'est avant cette dernière à qu'il faut le voir. Pas de spoil pour la 3, mais une meilleure cohérence avec la fin de la 2. La situation, classique pour le genre, d'une communauté de jeunes dans un Resort Hôtel est survolé, mais n'a rien de révolutionnaire.
Même si nos héros habituels ont la kakkoi classe internationale, comme d'habitude, me direz-vous, on a du mal à s'habituer à la transformation d'un looser en super héros en seulement 1 h 20 de film. On appréciera tout de même, une nouvelle fois, la prestation de Yokomizo Naho, à la fois solaire et terrifiante. La présence de Izumi Rika ou Komiya Rio fera également plaisir aux deux genres. Mais tout ça est insuffisant et le matériel d'origine est gâché par un manque d'ambition dans le délire. Difficile après cela de faire une autre side story prenant le parti de l'humour. Mais qui sait, l'univers est dense et Emoto Tokio aurait beaucoup de chose à raconter sur ses origines de Zombies Hunter.
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