Équations indigestes
Le pitch de cette énième adaptation épique d'un manga culinaire, vous met l'eau à la bouche tout en vous laissant sur votre faim. Un peu comme cette cuisine française qu'affectionne tant Takahasi Fumiya. Excellent acteur, festin pour les yeux par sa bogossitute, mais qui sait aussi vous régaler les papilles 'in reel life' sur les réseaux sociaux. Au menu de ces 10 épisodes culinaires, des maths, un restaurant gastronomique à faire tourner, des maths, des 'oishii' exagérés pour des pâtes au ketchup, des maths, d'excellents acteurs qui jouent mal et enfin des maths. Attention donc à l'indigestion.
En vrai, ce ne sont pas les maths qui risquent de vous donner des lourdeurs. Celles-ci ne sont qu'un prétexte cosmétique avec des chiffres qui s'envolent et de belles équations qui apparaissent en 3D CGI. Mais je cherche encore après plusieurs épisodes le rapport maths/cuisine dans cette série. Car on est plus dans la chimie de la cuisine moléculaire adaptée aux Pastas à la Napolitan qu'aux équations différentielles. Surveiller les températures des… Couverts, ou de l'eau qui bout, est loin du théorème de Fermat. On a beau nous montrer des chiffres virevoltants autour de notre héros, même dans le Numbers des années 2000, y avait plus de maths par épisode. Le petit génie remplit, en flashback, des sudokus et colorie des quadrillages au collège, ce qui reste léger pour oser citer Fermat dans le titre. Si les japonais vouent un culte à notre Pierrot national, dans beaucoup de mangas Nozonozo, la cuisine française en est pas moins sublimée dans ce média. Notre grand chef en devenir sera donc initié à la magie de celle-ci, après avoir laissé tomber celle des carrés magiques. Entouré de son mentor, le trop beau Shison Jun, qui surjoue son rôle de protecteur/mentor et d'une Koshiba Fuka
qui surjoue, elle, son rôle de rival vénère. Quelques déceptions, donc, pour ces acteurs qui généralement sont empreints de dérision sur eux-mêmes. D'ailleurs toute la série se prend trop au sérieux comme ces restaurants guindés où la Haute Société se retrouve en extase devant trois petits poids et 10 serveurs autour d'eux. Tout ce que je déteste dans la cuisine est dans ce Drama. Dommage, j'adore les maths et pour cause, je les enseigne..., mais la cuisine gâche tout.
En vrai, ce ne sont pas les maths qui risquent de vous donner des lourdeurs. Celles-ci ne sont qu'un prétexte cosmétique avec des chiffres qui s'envolent et de belles équations qui apparaissent en 3D CGI. Mais je cherche encore après plusieurs épisodes le rapport maths/cuisine dans cette série. Car on est plus dans la chimie de la cuisine moléculaire adaptée aux Pastas à la Napolitan qu'aux équations différentielles. Surveiller les températures des… Couverts, ou de l'eau qui bout, est loin du théorème de Fermat. On a beau nous montrer des chiffres virevoltants autour de notre héros, même dans le Numbers des années 2000, y avait plus de maths par épisode. Le petit génie remplit, en flashback, des sudokus et colorie des quadrillages au collège, ce qui reste léger pour oser citer Fermat dans le titre. Si les japonais vouent un culte à notre Pierrot national, dans beaucoup de mangas Nozonozo, la cuisine française en est pas moins sublimée dans ce média. Notre grand chef en devenir sera donc initié à la magie de celle-ci, après avoir laissé tomber celle des carrés magiques. Entouré de son mentor, le trop beau Shison Jun, qui surjoue son rôle de protecteur/mentor et d'une Koshiba Fuka
qui surjoue, elle, son rôle de rival vénère. Quelques déceptions, donc, pour ces acteurs qui généralement sont empreints de dérision sur eux-mêmes. D'ailleurs toute la série se prend trop au sérieux comme ces restaurants guindés où la Haute Société se retrouve en extase devant trois petits poids et 10 serveurs autour d'eux. Tout ce que je déteste dans la cuisine est dans ce Drama. Dommage, j'adore les maths et pour cause, je les enseigne..., mais la cuisine gâche tout.
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