Mon Précieux
Après des dizaines de dramas marqués pour le meilleur et pour le pire par sa présence, je n'ai toujours pas réussi à me faire un avis tranché sur les talents d'acteur de Tanaka Kei. Tout aussi excellent, quand il prend son air bougon et inquiétant qu'horripilant quand il prend son air niais ..., et vice-versa. Watashi no Takaramono, dont ses variations de caractère est au centre de l'intrigue de départ, va-t-il me donner un avis définitif. Le suspense est aussi intense que celui-de savoir qui est le papounet de ce cadeau inattendu.
Pour dire mon premier ressenti, l'intensité des premiers épisodes oblige notre acteur à surjouer la pourriture. Si bien que sa transformation va nous manquer cruellement de naturel. Alors que le reste du cast cherche une certaine vérité, Kitamura Kazuki à part, mais rien de surprenant connaissant ses rôles, on aurait aimé plus de retenue de Tanaka Kei. Au final, si la parentalité est le sujet principal de la série, la masculinité n'est pas moins interrogée. Et en tant qu'homme (je crois) j'ai autant aimé suivre les doutes du mari en particulier et des hommes en général, que ceux de Matsumoto Wakana qui tient son rôle de maman débordante de culpabilité à la perfection.
De manière surprenante, le jeu s'améliore avec les épisodes, comme si chacun rentrait vraiment dans le personnage, transformé par la venue de cet inestimable cadeau. Les mensonges font place à la vérité et le naturel avec. On se prend d'empathie pour chacun, se mettant clairement à la place de tous. Amoureux transi, père bafoué, personnage rongé par la culpabilité ou un code d'honneur d'un autre temps. D'un 1ᵉʳ épisode trop accès DV et maladroit, de la douceur et de la tendresse saupoudrent le reste de la série. Une mise en scène soignée et pleine de retenue accompagnée par une musique loin de la grandiloquence des productions habituelles achèvent un tableau plutôt bien réussi. Même l'ending ne sombre pas dans cette grandiloquence inhérente au genre. Bien sûr, certains trouveront à redire, et j'étais prêt à en être après les 2 premiers épisodes. Mais Tanaka Kei est tellement touchant avec ce bébé, qui faut bien le dire, est la star de la série qu'il nous offre le plus beau des cadeaux, un rôle à la hauteur de son talent.
Pour dire mon premier ressenti, l'intensité des premiers épisodes oblige notre acteur à surjouer la pourriture. Si bien que sa transformation va nous manquer cruellement de naturel. Alors que le reste du cast cherche une certaine vérité, Kitamura Kazuki à part, mais rien de surprenant connaissant ses rôles, on aurait aimé plus de retenue de Tanaka Kei. Au final, si la parentalité est le sujet principal de la série, la masculinité n'est pas moins interrogée. Et en tant qu'homme (je crois) j'ai autant aimé suivre les doutes du mari en particulier et des hommes en général, que ceux de Matsumoto Wakana qui tient son rôle de maman débordante de culpabilité à la perfection.
De manière surprenante, le jeu s'améliore avec les épisodes, comme si chacun rentrait vraiment dans le personnage, transformé par la venue de cet inestimable cadeau. Les mensonges font place à la vérité et le naturel avec. On se prend d'empathie pour chacun, se mettant clairement à la place de tous. Amoureux transi, père bafoué, personnage rongé par la culpabilité ou un code d'honneur d'un autre temps. D'un 1ᵉʳ épisode trop accès DV et maladroit, de la douceur et de la tendresse saupoudrent le reste de la série. Une mise en scène soignée et pleine de retenue accompagnée par une musique loin de la grandiloquence des productions habituelles achèvent un tableau plutôt bien réussi. Même l'ending ne sombre pas dans cette grandiloquence inhérente au genre. Bien sûr, certains trouveront à redire, et j'étais prêt à en être après les 2 premiers épisodes. Mais Tanaka Kei est tellement touchant avec ce bébé, qui faut bien le dire, est la star de la série qu'il nous offre le plus beau des cadeaux, un rôle à la hauteur de son talent.
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