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Amour et au-delà...
Until We Meet Again est un drame d'une beauté aussi ravissante que déchirante. Comme une poésie composée des mots les plus doux, mais qui renferment les émotions les plus violentes. Une histoire qui aborde de nombreuses thématiques sur fond d'une légende chinoise.
J'ai aimé cette histoire lors de mon premier visionnage (2020). Je l'ai tout autant apprécié la deuxième fois (2024). La réincarnation et ce qu'elle apporte est la thématique principale. Elle est joliment mise en scène, tandis que le drame jongle entre le passé et le présent, mettant en avant ses personnages.
Korn (Kao Noppakao Dechaphatthanakun) et Intouch (Earth Katsamonnat Namwirote) sont meurtris. Ce couple qui renaît trente ans plus tard sous les traits de Pharm (Fluke Natouch Siripongthon) et Dean (Ohm Thitiwat Ritprasert), qui ne sont plus meurtris, mais torturés tandis qu'un rail de bonheur leur tend les bras. Et puis un autre couple, Win (Boun Noppanut Guntachai) et Team (Prem Warut Chawalitrujiwong) dans une relation attirante, mais survolée. Cependant, elle sera explorée dans Between Us.
J'ai aimé la façon dont les personnages (Korn/Intouch et Pharm/Dean) étaient différents, mais similaires à la fois. Trente ans se sont écoulés depuis, les choses sont différentes, mais il y avait dans leur façon d'être des similitudes. Kao était exceptionnel, tandis que Earth s'est révélé touchant signant son meilleur rôle. Cependant, malgré l'affection pour ce couple, les baisers n'étaient pas flatteurs du tout. De l'autre côté, j'ai apprécié l'idée de nouveaux visages trente ans plus tard. Fluke et Pharm ont fait un excellent travail pour s'approprier leurs personnages sans perdre l'intensité instaurée par le passé.
Les thématiques abordées sont nombreux et loin d'être édulcorées. L'homophobie et le suicide étant les plus dures. Elles ne sont pas mal traitées, au contraire, c'est fait avec respect et mesure. D'autant plus que cela impacte les personnages du présent. De même quant au fait d'aborder l'amitié et le pardon (notamment familial). Cependant, la narration est parfois trop lente et fait traîner des scènes qui n'ont pas d'intérêt à l'être.
En bref, Until We Meet Again était mon premier drama thaïlandais. Une partie de moi se sentira toujours sacrément chanceuse pour ça, parce que malgré ses défauts, il n'y avait pas plus belle déclaration d'amour.
J'ai aimé cette histoire lors de mon premier visionnage (2020). Je l'ai tout autant apprécié la deuxième fois (2024). La réincarnation et ce qu'elle apporte est la thématique principale. Elle est joliment mise en scène, tandis que le drame jongle entre le passé et le présent, mettant en avant ses personnages.
Korn (Kao Noppakao Dechaphatthanakun) et Intouch (Earth Katsamonnat Namwirote) sont meurtris. Ce couple qui renaît trente ans plus tard sous les traits de Pharm (Fluke Natouch Siripongthon) et Dean (Ohm Thitiwat Ritprasert), qui ne sont plus meurtris, mais torturés tandis qu'un rail de bonheur leur tend les bras. Et puis un autre couple, Win (Boun Noppanut Guntachai) et Team (Prem Warut Chawalitrujiwong) dans une relation attirante, mais survolée. Cependant, elle sera explorée dans Between Us.
J'ai aimé la façon dont les personnages (Korn/Intouch et Pharm/Dean) étaient différents, mais similaires à la fois. Trente ans se sont écoulés depuis, les choses sont différentes, mais il y avait dans leur façon d'être des similitudes. Kao était exceptionnel, tandis que Earth s'est révélé touchant signant son meilleur rôle. Cependant, malgré l'affection pour ce couple, les baisers n'étaient pas flatteurs du tout. De l'autre côté, j'ai apprécié l'idée de nouveaux visages trente ans plus tard. Fluke et Pharm ont fait un excellent travail pour s'approprier leurs personnages sans perdre l'intensité instaurée par le passé.
Les thématiques abordées sont nombreux et loin d'être édulcorées. L'homophobie et le suicide étant les plus dures. Elles ne sont pas mal traitées, au contraire, c'est fait avec respect et mesure. D'autant plus que cela impacte les personnages du présent. De même quant au fait d'aborder l'amitié et le pardon (notamment familial). Cependant, la narration est parfois trop lente et fait traîner des scènes qui n'ont pas d'intérêt à l'être.
En bref, Until We Meet Again était mon premier drama thaïlandais. Une partie de moi se sentira toujours sacrément chanceuse pour ça, parce que malgré ses défauts, il n'y avait pas plus belle déclaration d'amour.
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