Hong kyung in this movie looks like that sad hamster meme <\3
Overall, I liked the movie.It has this chill vibe and makes you reflect on people with hearing loss. Most of the film is in sign language, which I thought was amazing.
Yong Jun (played by Hong Kyung, an incredible actor) is such a lovable character—I absolutely loved this guy.
Seo Gaeul (Kim Minju, who I just discovered today after watching this movie) is such a supportive and lovely sister! I loved her character.
- A few critiques -
I didn’t like how Yong Jun was the only one who showed interest and concern for Yeo Rum (Roh Yoon Seo, who’s an amazing actress, by the way). It felt like the feelings weren’t mutual.
Also, what she said to him after the fire kinda rubbed me the wrong way... Like, she told him it wasn’t his fault, but then immediately said he was exhausting her and she didn’t want to talk to him anymore? That didn’t sit right with me.
I thought Yong Jun’s love confession to Yeo Rum was beautiful, but it lost some of its meaning with the plot twist that Yeo Rum was actually a hearing person.
The scene where he puts on noise-canceling headphones showed how much he wanted to understand Yeo Rum better, but... she was hearing. 😭
I think the plot twist could’ve been something else—it would’ve worked better.
I really liked the part where Seo Gaeul (Kim Minju) argued with her sister about her dreams and how she felt. It’s a wake-up call for people who tend to forget about their own lives to prioritize someone else’s.
There should’ve been a deeper explanation of how Yong Jun spoke sign language so fluently. For most of the movie (up until this super shallow explanation near the end), I was left wondering how he was so fluent.
The "secondary couple" that only officially met in the post-credits scene felt unnecessary. They should’ve developed them more or just left them out entirely.
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Troublant...
Bah, tout est dans le titre. Si la première partie du film captive, la seconde devient prévisible au possible.Cette suite est hilarante de ridicule, mais capable de proposer des scènes prenantes (notamment sous l'eau dans sa première partie). Je ne vais pas faire l'éloge du scénario, il est médiocre. Avec en plus un petit pitch qui se veut écolo bien qu'on se doute que les gentils écolos ne le sont pas tant que ça. Ah, l'argent ! Je ne vais pas non plus m'attarder sur Jason Statham qui semble vouloir détrôner Chuck Norris. Cependant (et comme pour le premier film), l'ensemble du casting est bon, mais manque encore une fois d'émotion, malgré quelques tentatives.
En réalité, ce n'est pas surprenant qu'il soit tant critiqué, mais il reste divertissant et je plaide coupable de l'avoir été. Il m'a tiré plus de rires que je ne le pensais parce que c'est absurde, mais avec une bonne mise en scène. Il est dommage de voir qu'en fin de compte, on passe peu de temps sous l'eau.
En bref, The Meg 2 est exactement ce qu'on attendait. Une suite médiocre et ridicule qui nous tire quelques rires.
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Le parfait film pop-corn un soir d’été, les pieds dans l’eau
Ce n’était qu’une question de temps avant que Jason Statham veuille prendre possession des océans. Faisant face à un requin géant, on pouvait espérer des effusions de sang dans une démesure typiquement hollywoodienne. Si le film n’est pas une révélation, il aura le mérite d’être idéal pour une soirée pop-corn a barbotter dans l’eau. Parce qu’on le sait, le public ciblé est large, notamment lorsqu’il s’agit d’une collaboration entre les US et la Chine.En Eaux Troubles (The Meg) ne prend pas de risques et reste sur une base simple afin de séduire son public. Peut-on lui en vouloir ? Cela dépendra de ce qu’on attendait de lui. Ainsi pas de mare de sang (dommage), pas de scènes trop violentes (encore dommage). Certes, on n’attendait pas vraiment un Piranha version Mégalodon d’Alexandre Aja, mais peut-être un peu plus qu’un petit saignement.
Cependant, le film est visuellement bon (notamment les scènes sous l’eau qui sont bien agréables), bien qu’on note un manque de tension. Jon Turteltaub décide de ne pas trop tarder pour nous montrer la grosse bête qui est réussite.
En revanche, on ne pourra que pointer du doigt les personnages qui semblent incapables de montrer un soupçon d’émotions. Personne ne semble effrayé par l’attaque d’un requin préhistorique de plus de 20 mètres. Les pertes humaines sont rapidement balayées sous le tapis. Aucun ambiance particulière ne se dégage, même lors des scènes d’action. L’humour n’a même pas atteint le premier étage, sans parler de la pseudo-romance inutile.
En bref, c’est un bon divertissement qui ne se tarde pas d’être révolutionnaire. Les personnages sont des clichés, l’enchaînement est sans surprise et certains dialogues sont même prévisibles. Cela dit, il répond à sa nature première : divertir.
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Thriller engageant et critiques de la société
The Abandoned nous plonge aux côtés de la policière Wu Jie, prête à appuyer sur la détente de son arme dont le canon repose sur sa tempe. Cependant, elle est interrompue et fait la découverte du corps d’une femme. Malgré son envie d’être mutée pour espérer faire le deuil de la perte de son mari, elle se retrouve chargée de l’enquête. Avec en plus, la charge de former une nouvelle recrue, Wei Shan.Dès les premières minutes, on ressent quelques ondes de The Chaser (2009), un incontournable du genre de Na Hong Jin. Cela dit, sans être une copie, un jeu contre la montre se met en place. Entre temps, les deux policières se retrouvent assistées par un autre personnage qui souhaite lui aussi arrêter le meurtrier. The Abandoned véhicule de l’émotion au travers de ses personnages. Tout comme il traite également de problèmes sociétaux.
En effet, les victimes sont toutes des immigrées à Taïwan. Elles sont des cibles idéales. Après tout, qui irait à leur recherche ? Même dénoncer leur disparition à la police reviendrait à prendre le risque de se faire expulser. Naturellement, elles deviennent des cibles de choix pour qui veut assouvir ses désirs sordides. L’intrigue policière se renforce par les tourments de Wu Jie qui doit accuser le suicide de son mari. En revanche, le personnage de Xiang Jie Ru n’apporte pas grand-chose si ce n’est une solution bien-pensante à Wu Jie.
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Lindo e triste do começo ao fim
Estou pensando tantas coisas sobre esse filme que nem sei como organizar as ideias em uma única linha de pensamento. Só consigo pensar no amor que foi cultivado por anos de amizade ao ponto de superar adversidades e a passagem do tempo. Pensando no modo cruel como a história delas terminaram sendo que tinha uma vida inteira de companheirismo pela frente. Uma das melhores coisas da vida é você ter uma melhor amiga, acima de tudo quando essa pessoa é sua alma gêmea. lindo e triste demais vai ficar pra sempre na minha cabeçaWas this review helpful to you?
Un des meilleurs films de zombies de ces dernières années
Sans révolutionner le film de zombies, Train to Busan est pourtant un nouveau souffle pour le genre. Yeon Sang Ho réalise un long-métrage dynamique avec juste ce qu’il faut de poutrage de zombies, horreur et critique sociale dans une ambiance huis clos.À mes yeux, Train to Busan est le film ayant offert un nouveau souffle aux histoires de zombies. J’ai conscience du ras-le-bol général avec le genre zombiesque. Pour ma part, j’ai toujours aimé ces créatures – peu importe le support : cinéma, littérature, mangas… De ce fait, je ne m’en suis jamais lassé et reste curieuse de chaque proposition. Ainsi, l’arrivée de Yeon Sang Ho apporte un vent de fraîcheur pour le genre sans pour autant le révolutionner.
Yeon Sang Ho est un réalisateur qui sait comment dénoncer au travers d’œuvres fortes. Pour son premier film, il met en scène deux classes sociales, mais il n’en fait pas son unique moteur. Sans pour autant analyser le film Train to Busan est le parfait film de zombies que j’aime regarder. Des visuels forts, des scènes haletantes dans un huis clos où l’individualisme de chacun pourrait coûter cher. Pas besoin de sur-analyser le film afin de déceler les messages cachés ou faire mention de critique sociale pour en apprécier chaque minute.
Le scénario s’ancre sur une base solide avec des zombies répugnants, mais ô combien exquis à l’écran. Jonglant continuellement entre le film apocalyptique et horrifique, Train to Busan ne néglige pas pour autant quelques répliques bien lancées avec l’humour type d’une production sud-coréenne. De plus, l’action reste entraînante, tandis que le poutrage devient jubilatoire. Jusqu’à la détresse des personnages qui voient lentement chaque porte de sorties se refermer en un claquement puissant.
En bref, un film de zombies redoutable qui nous offre un voyage efficace.
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Le bruit du silence
Silenced est de ces films qu'on ne regarde qu'une seule fois, mais dont on garde un souvenir glacial.Tiré du roman éponyme de Gong Ji Young et basé sur des faits réels, Silenced est un film coup de poing. Il fait naître en nous un réel mépris et dégoût, tout comme un besoin de révolte et de justice. Certaines scènes peuvent être insoutenables – il est interdit aux moins de 16 ans pour une bonne raison – au point de vouloir en découdre avec les principaux concernés au travers de son écran. Or, c’est également toute la réussite de ce film. Silenced nous plonge dans une tourmente violente et brutale.
Dans mes souvenirs (2016, il me semble), il y avait une chose qui m’avait marqué : les scènes d’abus assez graphiques. Lors de mon re-visionnage, j’ai réalisé que cela avait gardé une trace. En effet, Hwang Dong Hyuk n’épargne personne, encore moins le téléspectateur en le forçant a assister à des scènes violentes et dures. Dégoût. Mépris. Haine. Ça bouillonne. Ce sont des scènes qui dérangent, mais qui servent clairement au film afin de pointer du doigt une réalité trop souvent édulcorée.
Adultes et enfants offrent des performances exceptionnelles qui prennent aux tripes sur toute la durée du film. Gong Yoo dans la peau de Kang In Ho, Jung Yu Mi dans le rôle de Seo Yoo Jin, Kim Hyun Soo en tant que Yeon Doo, Jung In Seo comme Yoo Ri. Et enfin, Baek Su Ho (anciennement Baek Seung Hwan) dans le rôle de Min Soo, prennent aux tripes. Leurs histoires sont différentes et révoltantes. Jang Gwang n’est pas en reste en ayant le rôle du proviseur et de son frère jumeau. Aussi détestable l’un que l’autre, l’acteur tient son rôle avec brio.
Je n'aime pas l'idée de noter le film, parce qu'il est trop complexe pour l'être vraiment, d'autant plus que Silenced est le genre de film qu’on ne met pas entre toutes les mains. Sa réalité dérange tout en pointant du doigt des faits dramatiques et écœurants dont les coupables ne répondent pas toujours. C’est un film qui met en colère et possède un développement solide, un rythme cohérent et une bande-son qui vient accentuer chaque émotion.
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Une comédie romantique aux courbes en cuir
Un thème timide dans les productions sud-coréennes, mais pas désintéressante pour autant. C'est une comédie romantique de bureau avec un décor classique avant qu'il ne prenne une toute nouvelle dimension.Au travers du film, Park Hyun Jin met l'accent sur de nombreux problèmes rencontrés au travail. Sexisme, harcèlement ou encore propos homophobes. Des points intéressants qui font une bonne alliance avec le monde du BDSM, car souvent pointé du doigt. Cela met également en lumière les raisons pour lesquelles Ji Hoo tenait à rester secret.
Lee Jun Young excelle dans son rôle d’employé de bureau et soumis. Seohyun est stupéfiante lorsqu’elle fait claquer le fouet. Malgré les controverses en raison du casting, le duo offre une performance honnête tout en jonglant entre apprentissage, maîtrise et simplicité.
Bien que le film ne s’éloigne jamais de sa légèreté et permettra une introduction au monde BDSM avec finesse et douceur, il sera malgré tout regrettable de voir que les émotions des personnages resteront au second plan. Nous ne pourrons avoir plus concernant la naissance des sentiments de Ji Woo à l’égard de Ji Hoo, ou inversement. Si les émotions se montrent de temps à autre, elles restent timides. Il est difficile de s’y retrouver ou même de vouloir comprendre où la relation débute et où elle se termine (bien que la frontière entre la relation homme/femme et D/s se dessine sur la fin).
En bref, malgré ses défauts, Love and Leashes offre une légère plongée dans le monde du BDSM avec finesse et respect. En abordant l’homme qui aime être soumis, Park Hyun Jin ne le rend pas moins homme/viril aux yeux de la société. Au travers d’une image lumineuse et minimaliste au bureau, contre des tons sombres et rougeâtre lors des jeux, l’ensemble ne fait qu’accentuer les tensions avec une bande-son légère, mais efficace.
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Un amour aussi doux qu'éphémère
Sans jamais être parfaitement joyeux, Love Like the Falling Petals donne lentement vie à une jolie et tendre histoire d’amour avant de plonger le téléspectateur dans une profonde mélancolie.Haruto (Nakajima Kento), est un jeune photographe en herbe avec une faible estime de soi. Au détour d’un coupon de réduction, il tombe sous le charme de Misaki (Matsumoto Honoka), une jeune coiffeuse pleine de vie au sourire réconfortant. Tandis qu’Haruto retrouve cette confiance perdue et se donne pour but de concrétiser ses rêves, la maladie de Misaki fait son nid. Triste et incurable, c’est au beau milieu d’un amour naissant qu’on la lui diagnostique.
À peine touche-t-on aux bonnes choses qu’on nous les arrache sans plus de cérémonie. Ainsi, il est facile de voir la transition brutale de Love Like the Falling Petals.
La première heure nous présente une douce et belle histoire d’amour. Tandis que la seconde nous plonge dans une lutte déchirante. Outre la séparation imposée et inexpliquée de Misaki envers Haruto, le film prend une direction différente dans son milieu. En effet, le frère de Misaki et sa fiancée (se retrouvent à devoir jongler entre problèmes financiers et la maladie de Misaki. Au fil du drame, les poids s'ajoutent sur les épaules de chacun : argent, fatigue morale et physique, reproches…
Avec la photographie comme point central de l’histoire, je regrette l'absence de son utilisation, notamment sur les CGI des cerisiers japonais. Ils sont une partie intégrante de la culture nippone. Si bien qu’elle s’est étendue, dépassant le continent asiatique pour toucher le monde entier. Qui n’a jamais eu l’envie de voir ses magnifiques arbres aux pétales rosées qui s'envolent au gré du vent ? Si les séquences permettent de passer d’une saison à l’autre, il reste regrettable de ne pas avoir de prises de vues réelles.
Si le film offre de belles séquences d’émotions, la mise en scène lors de la seconde partie bloquera la plupart des effets recherchés. Bien que la photographie soit belle, on ne pourra cependant que bouder la poésie manquante et si caractéristique des productions japonaises. Enfin, avec le choix de ne plus montrer le visage de Misaki, on perd l’occasion de nouer une affection plus forte envers elle.
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L'art de botter des culs, on pensera au reste plus tard !
Kill Boksoon ne surprend pas dans son intrigue, mais tient une partie de ses promesses avec des scènes d’action entraînantes et parfaitement chorégraphiées.Kill Boksoon est comme un bon jeux vidéo qui n’a qu’un but, se défouler. On sait ce qu’on veut, on en demande pas plus. Bien plus méritante en tueuse à gages qu’en restauratrice, Jeon Do Yeon offre pourtant un personnage insensible, voir méprisant du haut de ses valeurs discutables. Gil Boksoon est une tueuse à gage professionnelle engagée par l’agence MK. Respectée dans le milieu, on ne peut en dire autant dans son rôle de mère. Elle élève sa fille seule et leur relation ne cesse de se compliquer au fil du temps. Malgré un personnage peu aimable, elle permet de donner du corps et de la matière au long-métrage qui connaît quelques temps-morts, mais sans ruiner l’ambiance ou le rythme instauré. On apprécie également la relation entre Cha Min Kyu et Gil Boksoon qui offrent une dynamique intéressante et prenante au fil de l’histoire.
Cependant, ce n’est pas l’unique relation qui se complique. La directrice Cha Min Hee (Esom) compte bien lui mettre des bâtons dans les roues. La raison ? Son frère, Cha Min Kyu (Sol Kyung Gu) est attaché à elle, Gil Boksoon. D’ailleurs, le personnage d’Esom avait tout de la diabolique directrice avec un charisme propre à l’actrice. Pourtant, elle jongle continuellement avec son personnage et perd le spectateur ne sachant pas quoi en faire. De plus, il faudra un moment pour comprendre la nature de la relation entre Cha Min Kyu et Cha Min Hee. En effet, celle-ci est suffisamment tendancieuse pour voir un couple et non un frère et une sœur.
On retrouve également une violence dédramatisée au profit d’une économie florissante. Ceci remettant en cause les valeurs de Gil Boksoon. Pour exemple, la fille de Bok Soon agit de façon violente à l’école, pourtant personne ne semble s’en soucier. Après tout, elle a juste failli tuer son camarade de classe – et elle voulait le tuer.
C’est un film pour lequel on ne cherche pas plus loin que les images. Il ne faut pas s’attarder sur l’aspect social ou humain. On veut de la baston ? Le film nous en offre avec de belles chorégraphies et un côté gore propre aux productions sud-coréennes. Pour résumer, Kill Boksoon, c’est botter des culs dans les règles de l’art !
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Un drame aux silences assourdissants
In Between Seasons est un drame qui renferme une histoire remplie de secrets aux longues scènes silencieuses, mais aux vérités bruyantes.Lee Dong Eun (auteur du livre et aussi réalisateur du film) fait le choix de miser sur les gestes plutôt que les mots. Le film offre de nombreux silences pour exprimer les émotions des personnages. In Between Seasons ne vous sert pas les émotions sur un plateau d’argent. Il ne vous dit pas non plus ce que vous devez penser. À la place, il pousser à l'analyse, la compréhension et l'application de lire entre les lignes. C’est un film qui murmure des secrets depuis sa scène d’ouverture. Le genre de secrets qu'on ne mentionne pas à haute voix.
Ce film, c’est l’histoire secrète entre trois personnes qui s’aiment sincèrement, mais qui le font différemment au rythme d'épreuves lourdes, de secrets et d'une société conservatrice. N'attendez pas de ce long-métrage des personnages clichés et une photographie si lumineuse qu'elle en brûle la rétine. À la place, ce sont des couleurs naturelles qui jonglent avec les émotions. Il suffit d'accorder un intérêt aux affiches où on navigue entre les teintes d’un printemps chaud et la fraîcheur d’un hiver.
On peut voir une évolution des personnages. Le temps passe et Mi Kyung commence par voir les choses d’un œil différent. À côté de cela, on admire la ténacité de Yoon Joon qui reste amoureux de Soo Hyun et refuse de le laisser, bien qu’il tente de vivre un minimum sa vie. Le tout est porté par des performances poignantes qui viennent équilibrer l’ensemble. Un ensemble magnifique.
Certains réalisateurs aiment montrer plutôt que dire. C’est un choix qui oblige le téléspectateur à pousser ses propres réflexions. Un choix intéressant dans ce film, car c'est ce qui le rend si unique aux yeux de chacun.
Pour ma part, ce n’est pas une seule fin, mais trois qui peuvent s’interpréter. Tout va dépendre de la façon dont vous regardez le film. Tout d’abord, celle du téléspectateur qui reste confus et tente d’imaginer la fin qu’il espère. Ensuite, celle de Mi Kyung et Su Hyun qui est une fin qu’on peut juger heureuse. En effet, Su Hyun sort du coma et ne souffre pas de séquelles particulières. Enfin, il reste la fin du point de vue de Yong Joon. Celle-ci est la plus triste, car Yong Jun dit au revoir à son amour.
En bref, In Between Seasons est de ces perles du cinéma qui approche sa caméra au plus proche du cœur avec ce qu'il faut de dialogues et de silences.
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Regarder le présent et trier son passé
Je n'ai pas lu le manga dont le film est adapté. J'y ai passé un bon moment grâce à la subtilité des dialogues, malgré une mise en scène plutôt décevante.L'intrigue est une simple romance de bureau entre deux hommes. Les deux personnages semblent diamétralement opposés dans leur tempérament et leur style de vie, pourtant, ils ont tous les deux souffert par le passé.
Togawa Yousuke boit, fume et semble se ficher de tout avec une personnalité quelque peu grossière en apparences. De l'autre côté, Shima Toshiaki est un introverti blessé qui préfère s'oublier lui-même, quitte à passer pour un homme désagréable aux yeux des autres. Pourtant, le premier est un supérieur hiérarchique gentil et attentionné, tandis que le second est simplement une biche blessée qui tente d'avancer avec ses blessures.
Au fil de l'histoire, les deux hommes vont se rapprocher au point que les sentiments vont presque être incertains une bonne partie du film. Shima est émotionnellement passif, tandis que Togawa passe pour un bourrin plus d'une fois. Et pourtant, chacun devient la raison d'avancer de l'autre.
Je n'attendais pas du film qu'il déverse tous ses dialogues sur un plateau d'argent. Encore une raison qui me fait apprécier la subtilité du cinéma japonais. De plus, le final se révèle différent du genre habituel et s'achève sur une belle note.
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Fort dans ses thématiques, faible dans sa narration
Malgré ses promesses et son visuel prodigieux, Jung Yi souffre d’un manque de matière avec un goût d’inachevé en raison d’un sujet lourd et d’un temps imposé insuffisant.Yeon Sang Ho délaisse les zombies de Train to Busan et la secte de Hellbound pour se tourner vers la robotique. Si le réalisateur reste redoutable derrière une caméra, on pourra malheureusement sentir qu’il manque de matière, malgré une histoire intéressante et une photographie époustouflante.
Jung Yi (Jung_E) débute sur une scène d’action explosive délicieuse. Explosions, flammes, fumées, tirs et chorégraphies parfaitement exécutées. Pourtant, sa scène d’ouverture laissera un goût amer pour l’heure suivante, nous offrant seulement de longues discussions sur les façons d’améliorer leur IA. Dont tout un questionnement sur une zone qui, jusque là, ne s’était jamais animée. Il ne faudra pas longtemps aux spectateurs (la diode s’allume tout de suite, en réalité) pour comprendre cette zone. Mais des scientifiques chevronnés semblent coincer…
Jung Yi souffre dans sa forme, malgré ses thématiques fortes. Nombreuses dans un univers bien pensé, mais mal exploitées, on pointe du doigt un futur terrifiant. Un futur qui fait le lien avec notre vie actuelle où tout devient numérique et où nous sommes, depuis longtemps, le produit. Tout comme il touche notre éthique et notre morale.
Le film était prometteur, mais sa narration faiblarde et son scénario médiocre auront raison de lui.
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This review may contain spoilers
“Vê-la novamente e estar aqui me faz ter pensamentos estranhos. ““Que tipo de pensamentos ? “
“E se, 12 anos atrás, eu tivesse vindo para Nova York ?
E se você nunca tivesse saído de Seoul?
Se não tivesse ido embora daquele jeito, e se tivéssemos crescidos juntos, eu ainda a teria procurado?
Teríamos namorado? Terminado? Teríamos casado? Tido filho juntos?“
“Pensamentos assim. ”
Foram esses e outros pensamentos que me fizeram amar esse filme, pois tudo que pensamos em nossas vidas é sobre um “E se? ”. Nossos antigos amores, antigas amizades e antigos nós mesmos. Esse pensamento nos leva ao passado, a situações que poderiam ser diferentes mas não foram, que não podem ser substituídas. Porém elas existiram e sempre vão estar conosco, sejam essas situações felizes ou não.
Past Lives foi o que me fez pensar sobre meus "E se?".
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Esse arco de história é um tragédia, vai contar a história da origem de sua cicatriz em forma de cruz e de seu amor por Tomoe, uma história linda que ensina sobre redenção e muito amor. Definitivamente meu filme favorito japonês. A quantidade de lágrimas que derramei nesse filme não é possível calcular, recomendo assistirem.
Para mim, um enorme NOTA 10.
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