Vint à passer un bel et sombre inconnu...
J’ai aimé ce film, son incertitude, sa beauté plastique, la jonction délicate entre le fantastique (léger, à peine perceptible) et la réalité (le souvenir indélébile du tsunami et la façon éternelle dont l’adolescence découvre l’amour…) Le film se passe en Indonésie, on y parle donc la langue locale, l’anglais ou le japonais et déjà la fluidité de ce mélange de langue est un premier aspect de la fluidité du récit. Un homme est découvert inanimé sur une plage… on le pense japonais… Il ne parle pas… il a des pouvoirs étranges… Sont-ils bons , on peut le croire, sont-ils mauvais? Sans doute, mais c’est surtout que le Bon et le Méchant de nos habitudes ne lui vont pas du tout, il agit d’après sa propre règle que personne ne connaît. Il pourrait ranimer une fleur ou tuer quelqu'un… Certains critiques y ont vu la figuration d’une entité de la Nature qui agit sur l’Humain sans aucune empathie ou sentiment (on revient aux tsunami indonésien ou japonais…) je trouve cette définition forcée, c'est seulement quelque chose d'étrange qui arrive ...Ce film laisse dans l’interrogation, et cependant sans la frustration de l’incompréhension.
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Au revoir l'été, au revoir l'enfance...
J’ai vraiment aimé ce film, son atmosphère, la beauté de ses images, la finesse et l’intelligence du scénario.Je lis partout que c’est « Pauline à la plage « de Rohmer au Japon, et d’ailleurs il paraît que FUKUDA est un grand admirateur du cinéaste mais je n’ai rien vu de lui, sauf Lucchini en armure de fer-blanc, donc je ne pourrais pas continuer la comparaison !
Mais j’aime le film en lui-même, l’intelligence avec laquelle FUKUDA laisse transparaître derrière la joliesse des amours adolescentes la cruauté et la bassesse des adultes. Il n’y a rien de tragique, aucun pathos, la caméra est d’une discrétion parfaite : par exemple elle filme seulement deux livres à l’arrière d’une voiture pendant la fin du dialogue du conducteur et de sa passagère, dialogue choquant par sa froideur cynique…
Takashi vient de Fukushima, mais il ne faut pas attendre le moindre larmoiement là dessus, au contraire, l’interview à contre-courant du jeune homme est même assez comique !
Au long du film, au fur et à mesure que le cinéaste nous fait comprendre et aimer les adolescents, il nous montre les adultes comme endurcis, froids et cyniques, et pourtant d’une grande banalité, ce qui est le pire, je crois.
Donc, en bref, je recommande vraiment ce film qui m’a donné maintenant l’envie de voir « Pauline à la plage » d’Eric Rohmer !
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heartwarming movie
kalau kalian mau nonton sesuatu yang ceritanya gak terlalu berat tapi menyentuh dengan akting yang keren, cocok banget nonton film ini!film ini nyeritain tentang seorang anak bernama lee seungyi yang dijadiin jaminan hutang oleh ibunya, karena satu dan lain hal, akhirnya seungyi berakhir tinggal dan diurus oleh rentenir yang ngasih pinjaman ke ibunya. aku seneng banget gimana kita diperlihatkan interaksi yang wholesome antara seungyi sama seungbo dan jongbae, mulai dari yang awalnya mereka beneran gak ngerti cara ngasuh anak kecil, seungyi yang sempet diculik, sampe akhirnya hubungan mereka udah kaya keluarga.
endingnya juga super bikin banjir air mata! buat penonton (khususnya yang cengeng kaya aku) boleh banget siapin tissue dulu sebelum nonton ini. terakhir, aku suka banget sama aktingnya park soyi disini, masih kecil tapi bisa bikin penonton ikut sedih dan gemes sama kelucuannya!
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La revanche des adaptations en live
Voilà un film coup de poing pour rendre hommage à un manga, on ne peut plus populaire, mais pour ma part, surévalué. J'avoue avoir regardé l'annonce de l'adaptation en live action un peu de haut, vu le peu d'intérêt que le premier épisode en anime a suscité chez moi. Cette énième histoire de voyage dans le temps, et en particulier ses retours incessants à l'adolescence commence à me laisser froid. Si on rajoute à cela des graphismes ou une animation sans éclats, (GTO où es-tu ? J'y reviendrai) et un scénario sans subtilité, avec des retours dans le temps, comme ça, juste avec des poignées de mains, j'accroche vraiment peu. Même pas un petit convecteur temporel ou des lettres qui font le voyage plutôt que les humains. Et surtout une banale histoire pour sauver sa bien aimée. Ok, ce n'est pas sa mère morte ou son père emprisonné, mais justement, on n'est pas loin du preux chevalier qui va sauver sa princesse. Un loser sans charisme, qui comme dans tout (bon/mauvais) shōnen, gagnera en skill le long des chapitres. Non, seul l'Opening Cry Baby, des Official Hige Dandism avait attiré mon attention sur cet œuvre et était là raison de visionner le 1er épisode de l'animé et pas les autres donc... et pourtant.Alors pourquoi m'infliger le live action alors qu'il est de coutume pour un occidental de considérer celui-ci raté et ridicule, avant même de l'avoir vu ? Parce que c'est une "Putain de réussite de bon film d'action", tout simplement. Un popcorn movie qui remplie à 100% son rôle d'exutoire de votre violence trop contenu depuis deux ans. Il faut dire que la production a mis le paquet : le budget maquillage a explosé tant l'hémoglobine dégouline de ses combats entre Bosozoku qu'on croyait disparu depuis GTO. Les boites de sparadrap sont ouvertes par caisse et les coupes de cheveux nécessitent un ratio laque/coloration égale par fûts entiers. Honnêtement, c'est vraiment les costumes et le maquillage qui est la grande réussite de ce revival des mangas/animes/dramas/movies de Bosozoku des années 80/90. Mais alors pourquoi avoir placé l'histoire principale en 2010 ? Ok, nos adolescents héros sont has been à mort. Mais finalement pas tant que ça, au vu des clans encore actifs qui finiront par nourrir la pègre japonaise, 10 ans plus tard. C'est bien cet anachronisme qui choque le plus. Plus que l'improbabilité scientifique et scénaristique qui en découle. Les scènes de cascades à part quelques exagérations de défenestration sont plutôt réalistes et les acteurs crédibles, malgré évidement des doublures. Mais ça passe et si vous cherchez réellement un film ou ça tape, vous serez agréablement surpris. Les côtes brisées durant un combat ne les arrêteront pas, ce qui laisse présagez des fight scènes longues et intenses, de la chorégraphie avec des longs manteaux qui volent au ralenti et des cheveux longs et blonds qui flottent dans le vent.
Et de la blondeur, vous en aurez. C'est aussi un des points qui m'a gêné dans le manga. Les ados ayant tous des gueules d'anges alors qu'ils se destinent à être des Yakuzas. Dessins trop enfantins pour l'œuvre originale, à l'annonce des acteurs principaux pour le film, je n'étais pas plus rassuré. Mais clairement curieux de voir le chanteur (et acteur de drama) romantique Kitamura Takumi en chef de gang. C'est vrai que Dish est plutôt connu pour ses musiques pop sucrées, Kitamura pour sa voix androgyne et ses seconds rôles de loser romantique plutôt que de loser des free fight. Je ne doutais pas que Yamada Yuki ferait un excellent Draken tant par le physique, le charisme, le jeu, le regard que par l'accent des bas-fonds et bien sûr, il ne m'a pas déçu, mais Takumi Chan, quand même. Mais finalement, le choix se révèle judicieux et Kitamura m'impressionne une fois de plus par son talent. Bien qu'il traine blessures, pansements et taches de sang durant 90% du film, il est juste à chaque scène. Jamais grotesque dans ses cris, son impuissance ou même ses prises de coup de sang nécessaires à tout shōnen. Un réalisme bien venu que l'on retrouve chez Yamada Yuki et qui tranche avec le personnage de Mikey bien trop bipolaire pour le rendre crédible. Non pas que Yoshizawa Ryo joue mal, mais cette gentillesse, combinée à cette violence, n'est pas crédible du tout. Encore moins face à la gent féminine. Si le retour dans le passé est de 10 ans sur le papier, certaines attitudes face au sexe "faible" (et là, je le fais exprès) sont à chercher du côté de l'age de pierre. Les limites de l'adaptation de personnage de manga en vrai. Comme cet étrange binoclard de service qui remonte ses lunettes au ralenti pour montrer à quel point il est manipulateur. À peine croisé dans le film, j'imagine qu'il prend une autre importance dans l'histoire originale, comme le frère de l'héroïne qui transpire le mec louche ou la sous-exploitation à l'écran des personnages féminins, relégué en faire valoir des mecs. Imada Mio hérite encore d'un second rôle de support du héros et je rêverai qu'elle prenne de l'épaisseur dans une suite pour donner tout son talent et quelques nions à ses machos. Résumé en deux heures, tout n'est surement pas dit dans le film et je me doute bien vu le succès de celui-ci que suite il y aura, car on est vraiment sur notre fin au générique. Ce qui évidement nous obligera à nous plonger dans l'anime/manga, pour en savoir plus. La revanche de mes premiers amours d'il y a 10 ans (ok plutôt 30), sur une trop grande passion actuelle des live action, en quelque sorte.
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un film qui rend heureux....
Rien ne me vient facilement.Ni le sourire.
Ni la joie.
Ni l’émotion.
Et encore moins les larmes.
Et c’est ce qui me fait écrire avec tant d’empressement lorsque j’arrive à rire, à avoir peur, à aimer…et surtout à pleurer.
C’est donc « à chaud » que je fleuris cette feuille de mon enthousiasme (cela date de 10 ans, et cet article, et ce visionnage). Mais commençons donc par le résumé, il faut bien s’aligner parfois sur le commun, n’est-ce pas mon ami ?
« Born to Sing » est inspiré d’une émission en Corée du Sud « National Singing Contest » toujours en diffusion sur une chaîne phare, KBS1, tous les dimanches soir (du moins quand j'écrivais ce billet). Une émission qui dure depuis 1980 (cela ne nous rajeunit pas, n’est-ce pas ?).
Nous suivons à travers plusieurs candidats un concours de chant national : L’apprenti coiffeur Bong Nam, le grand-père Oh et sa petite fille Bo Ri, La maire Joo Ha Na, et les deux collègues de travail Yoo Yeon Seok et Lee Cho Hee.
Tout d’abord, je dois préciser que le film est basé sur les témoignages de candidat recueillis pour l’occasion, ce sont donc un peu des tranches de vie que nous découvrons dans ce petit bijou cinématographique.
L’affiche rutilante et très kitch ne m’avait pas vraiment convaincue. La bande-annonce m’a fait sourire et l’idée de siroter mon cup of tea devant ce qui s’annonçait une petite comédie simple m’a fait sauter le pas. J’ai donc lancé le visionnage sans trop d’arrière-pensée, positive ou négative. Je n’en attendais ni plus ni moins.
J’avoue avoir une très grosse préférence pour les séries. Cela me donne le temps de m’attacher et de comprendre les personnages. Ce qui me semble rédhibitoire dans un long métrage c’est justement son format. 1h30 voire 2h sont nettement insuffisants en ce qui me concerne, avoir de l’empathie ou entrer dans les sombres couloirs tortueux d’un esprit humain me prends beaucoup beaucoup plus de temps. Résultat, un long métrage reste très souvent à un niveau correct…et comme le veut une règle universelle, il y a TOUJOURS des exceptions. Bienheureux, n’est-il pas?
Dès les premières secondes, j’ai été goulument aspirée par ces tranches de vie. De petites histoires sans aucune prétention qui ont réussi l’exploit à me faire pleurer et à me rendre honteusement heureuse. De m’obliger à me cacher afin d’y verser ce trop plein d’amour et d’émotion qui m’ont attaqué de manière bien sournoise.
A première vue, rien qui ne puisse expliquer ce bouleversement hormonal. Un assistant coiffeur dont le rêve de devenir chanteur depuis toujours voit l’opportunité dans ce concours de le concrétiser, un grand-père et sa petite fille au quotidien banal, madame le maire qui y voit l’occasion de promouvoir sa ville et enfin, deux employés travaillant sur la publicité d’un de leurs produits, un nostalgique buvant de manière éhonté afin de vivre confortablement dans un souvenir lointain…
C’est tout.
Pas de génie vocal. Pas de danseur sexy se déhanchant (quoique Bong Nam laisse rêveur) sur un rythme populaire. Et c’est ce qui fait un peu la particularité de ce film. Nous sommes loin de chorégraphie endiablée où à la lueur de feux de rampe, de jeunes et talentueux candidats s’affronteraient férocement afin d’obtenir la première place, la reconnaissance absolue de leur savoir ! Loin, très loin de ce cliché, « Born to Sing » s’ingénie au contraire à nous dévoiler ce qui dort au plus profond de soi.
Chanteur, tout simplement.
Le balbutiement d’un cœur hésitant.
Le fléau de deux générations se tâtonnant.
Un politiquement correct très sympathique.
J’ai donc été sincèrement et agréablement surprise par « l’originalité » sur le fond. Je m’attendais à tout sauf à cela. Oui, à sourire et à pleurer. Car c’est tout simple. C’est juste tout simplement beau.
Il n’y a pas de déluge de bons sentiments. Pas de mièvrerie. Juste le petit plus qui illumine chaque scène. Et le film réussit ce tour de force en ce qui me concerne, avec son format de long métrage. J’ai aimé tous les personnages. Leurs vécus. Leurs envies. Leurs angoisses. Leurs rêves…
Quelques minutes éparpillées ont suffi à m’attendrir. Et sincèrement, c’est très fort. Je n’ai pas d’autres mots. J’ai pleuré, et Dieu que cela fait du bien. De pleurer non pas de peine. Ou de haine. Ou de colère. Mais juste de joie. D’émotion. J’en ressors heureuse. Et cela, c’est magique.
Des personnages qui n’ont pas vocation à de grandes choses si ce n’est avancer.
Bong Nam, je l’ai adoré. De suite. Il est loin des canons de beauté que nous impose la société. Chanter, danser, entrainer la foule dans son délire n’est pas un problème. Et la première démonstration dans le salon de Mi Ae est fort éloquente. On se reconnaît aisément dans son parcours. Tu sais, cet abandon de rêve pour subvenir financièrement à sa famille, sa femme, ses parents. Nous sommes tous plus ou moins passés sur ce chemin caillouteux. Et j’ai d’autant plus applaudi de voir Bong Nam persévérer quitte à peiner l’être aimé.
J’ai eu du mal à comprendre Mi Ae, du moins au début, ne pas concevoir son manque de soutien envers son mari. Certain, je pense aurait été bien au contraire dans son sens. Il est plus facile je pense de s’emporter envers l’époux fautif, voir Mi Ae s’acharner à maintenir les finances du couple peut en effet indigner plus d’un. Mais le puzzle s’imbrique comme du beurre et je n’ai pu ni en vouloir à Mi Ae, la réalité de la vie rattrape impitoyablement, ni à Bong Nam, de vouloir enfin être complet.
L’autre « couple » qui m’aura fait fondre d’amour est le grand-père Oh et sa petite fille Bo Ri. Sur la multitude de dramas et films que j’ai pu visionner jusqu’à présent, il y a désormais une certitude qui s’impose! Les enfants coréens sont des SURDOUES. Non seulement ils sont physiquement adorables, mais surtout leur jeu est incroyablement « vrai ». Ils ont su faire mouche et me toucher, m’entraîner dans LEUR réalité à, chaque fois et pour cela, je leur tire la révérence.
La petite Kim Soo Mi qui joue Bo Ri est « too cute » et ses mimiques font sourire, voire rire. Sa relation avec son grand-père est mon idéal. Peut-être le vôtre ?
C’est ainsi que je vis, du moins la mienne, ma famille, mes enfants.
Les disputes, les remontrances, les sermons, les soupirs agacés de la vie de tous les jours. Mais aussi la complicité, les fous rires, la tendresse sous-jacente de tous les jours. Grand-père Oh et Bo Ri sont parfaits dans cette relation conflictuelle de génération et ils seront ceux qui m’auront obligé à courir derechef dans la salle de bain pour effacer ces larmes si traitres.
Le troisième couple n’explose pas de dynamisme ou de relation passionnelle et charnelle, je m’en gausse, mais tu sauras quand tu commenceras, qu’au pays du matin calme, les relations entre homme et femme sont souvent dépeintes de façon prude et platonique (bien sûr, comme partout et souvent dans une société qui évolue, cela est en passe de changer, et c’est bien, bien, bien dommage).
La très discrète Hyun Ja se retrouve « coincée » avec Dong Soo, tout deux devant promouvoir le produit-phare de leur entreprise au vu et sus de tous à l’antenne. Un produit bien difficile pour la douce Hyun Ja à décrire. Comment a-t-elle pu passer l’audition ? Je me pose encore cette épineuse question, mais peu importe, il m’a été agréable de suivre ses battements de cœur. Je l’ai trouvé très courageuse lors de la finale, et bien que loin des couples qui emportent avec passion nos neurones, la simplicité, je dirais presque la douceur de leur relation était presque un cadeau.
Je finirai avec madame le maire Joo Ha Na et son adjoint, Chef Maeng ! Le dernier couple hilarant. Que dire ? Elle ne sait pas chanter. Loin de là. Ni danser. Elle sait remettre à sa place ses subalternes, avec acidité, presqu’avec classe. Et sans Chef Maeng, que j’ai presque eu envie de le voir auditionner à la place de madame le maire, elle aurait été fade et usante. Chef Maeng a apporté ce petit plus, ce soutien sans faille qui change beaucoup. Il faut le voir à la finale la soutenant en chantonnant avec elle pour comprendre, un petit plaisir au goût de marshmallow.
Alors, oui ne nous voilons pas la face. Il n’y a pas de suspens. Pas de surprise réelle, pas de twist hargneux. Tout est prévisible. Ah! mais ici, peu me chaut ! car ce n’est pas le but de l’histoire. Ici-dans, c’est pleinement assumé, vouloir nous réchauffer le temps d’une chanson entraînante : une réussite.
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Jogos Paraolímpicos de 2016
Fiquei surpresa em ter descoberto só agora 2020, a existência desse drama tão comovente.Esse filme é daqueles que você ri e chora juntos com os atores. O elenco de peso e super experiente em arrancar lágrimas e risos não deixa faltar nada nessa história que mostra o de um atleta nacional que perde a visão e sem os seus pais vivos, se vira para viver em casa sozinho, enquanto o seu meio irmão presidiário pede uma permissão para cuidar do irmão por um ano, mostra o lado competitivo Paraolímpico da Coreia do Sul, fala um pouco sobre o nosso maravilhoso país Brasil e trata dá partida (morte) com a visão terna do irmão mais velho.
Os atores Cho Jung-seok ( Doo-Sik) e Doh Kyung-soo (Doo-Young) se encaixam muito bem em seus papéis de irmãos, cada diálogo dos mais desprezíveis do irmão mais velho e dos mais sofridos do irmão mais novo fazem com que o telespectador se ponha no lugar e sofrer junto, assim como quando
Park Shin-hye (Soo-Hyun) como a treinadora nacional entra em cena mostrando todo seu esforço com o atleta e o desafiando a volta como Paraatleta é emocionante.
Quando pesquisei sobre o filme antes de assistir a impressão que alguns cinefalos passaram que era mais do mesmo, mas tirar minhas próprias conclusões foi fundamental para ver um trabalho super diferente desafiador desse elenco, que a interpretação não deixou falhas.
Convido você a assistir !
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Assista
Realmente vale a pena assistir esse filme. Adorei ver o romance nascendo entre os protagonistas e fazer os dois superar juntos suas dores e medos. Eles eram tão lindos juntos queria que o filme nunca acabasse.Adorei a atuação dos protagonistas principalmente a protagonista feminina , no inicio eu realmente achava que ela era deficiente visual.
Adorei a fotografia , enredo e roteiro tudo bem feito e executado, conseguiu me emocionar e me fazer feliz, foi bom e leve de assistir apesar da história triste.
Em fim recomendo gostei muito , é um belo romance para se assistir.
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ADMIREABLE, LOVELY, BEAUTIFUL, SIMPLE, AND GENUINE.
TIPE FILM KESUKAAN GUE BANGET???gue selalu suka sama drama-drama remaja (youth) yang pure, naive, dan innocent kayak gini--kayak ARRGHHH GEMES SUPER LUVLY. seperti apa yang terdengar dalam judulnya, film ini nerbener nyejukin hati.
secara keseluruhan, film ini tuh cuma menceritakan kisah cinta monyet gadis remaja desa yang naksir sama anak baru pindahan dari kota. just like linda, linda, linda (2005), film ini engga bakal memberikan dinamika plot yang gimana-gimana. tapi gatau gimana ya, Nobuhiro Yamashita seperti punya magis sendiri kalau udah mengangkat kisah anak remaja. dia berhasil menggiring penonton (khususnya gue) buat throwback ke masa kecil dulu. kalaupun lo gapernah hidup di desa, film ini 100% murni ajib banget karena nerbener bisa membawa ademnya suasana di sana sampe tembus layar HAHAHA si lebay. zuzurly gue naksir parsssssssssssss.
visualnya cantik parah huhuhuhu pengambilan shotnya, tone & gradingnya, semuanya cakeppp! bikin pengen pergi ke desa yang masih semurni itu t_____t scoringnya manissss. ost di credit scenenya juga gemes huhuhu
menjelang ending w agak mau mewek gitu karena AAAAAAAAAAAAAAAAAAAA
gue saranin si nonton film ini di hari minggu pas lagi leyeh leyeh :D
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Les pires secrets sont toujours enfouis...
Que puis-je dire sur ce film ?! Je l'ai regardé sans vérifier l'histoire, je ne savais donc pas trop à quoi m'attendre.Très vite, l'ambiance de ce film semble étrange... Nous comprenons que quelque chose cloche mais nous n'arrivons pas à mettre le doigt sur ce qui nous dérange... Puis cette prise d'otages... Un clown aux motifs cachés... Des personnages plus coupables les uns que les autres... Des secrets des plus horribles...
Cette histoire nous mène dans une vengeance si bien construite... Cependant, le temps entre le motif de la vengeance & celle-ci me semble tellement court que je me demande comment elle a pu être fomenté sans que personne ne s'en rende compte... (Vous me direz, c'est un film de 1h40, difficile de faire de grandes distances de temps mais je la trouve tellement "instantanée" que l'histoire en perd de sa profondeur...)
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Rien n'est jamais aussi loin que la paix du cœur
J’ai adoré ce film, son atmosphère paisible qui va pas à peu se fissurer, la façon délicate et absolument pas démonstrative dont le réalisateur nous fait découvrir la vérité, comme une série d’écrans qui s’écarteraient les uns après les autres… Rien de plus simple que le début : Un père et sa fille qui ont trouvé refuge dans une ferme, les relations amicales qui se sont nouées entre le patron, sa fille et l’employé et sa fillette, dans un cadre bucolique, une nature splendide et pure… Sans coup de théâtre, d’une façon très naturelle, des arrivées, telles des cailloux brisant la surface lisse et sans mystère d’un étang , vont nous faire pénétrer dans la vie des personnages. Le miroir est brisé et les morceaux recomposent à la fin une autre image, qui nous laisse avec un sentiment indéfinissable d’amertume, car ce qui était au début un symbole encourageant de la nature humaine, a retrouvé à la fin tout ce qui en fait la tristesse : les préjugés, la discrimination qui détruit des vies, l’impossibilité de trouver, même dans un lieu lointain, la paix du cœur et le droit de vivre.Le titre « un lieu lointain » en est le parfait résumé : c’est à la fois le lieu rêvé et inaccessible où chacun est accepté pour ce qu’il est, et le lieu intérieur où trouver la paix de l’âme. Le film nous prend dès les premières images par la beauté incroyable de la montagne coréenne en automne, par la paix qui s’en dégage, puis nous accroche par les premières fissures qui nous font avancer de compréhension en découvertes… Les deux heures passent comme un souffle, et même j’aurais voulu continuer à suivre les personnages, mais nous ne pouvons que les imaginer, car nous restons dans ce lieu lointain où ils avaient cru pouvoir vivre, lieu dont nous avons découvert qu’il n’était pas le paradis entraperçu au début…
Les acteurs sont parfaits, simples, justes, sincères, les dialogues aussi, il n’y a rien de trop dans ce film, et en même temps chaque plan, chaque mot a son sens et son utilité pour ouvrir les perspectives…
Nous sommes sorties littéralement enchantées par ce film, au sens propre du terme, pris dans un enchantement, par son atmosphère, sa justesse, sa simplicité poignante et il m’a été difficile de voir de l’espoir dans la fin, ouverte, mais sans illusion…
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Une vraie complicité
Comme dans la saison 1 de la série, ce qui m'a marqué c'est la complicité entre les 2 perso principaux.Il y a une alchimie et un naturel assez déconcertant que je n'ai trouvé dans aucun autre drama et pourtant Dieu sait que j'en ai regardé !
Ils m'ont donné le sourire ! Et c'est génial de se sentir heureux en regardant une fiction !
Au niveau du scénario, il n'y a rien de nouveau ni même rien d'original ! Mais pour le coup, ça fonctionne très bien parce que ça rend l'histoire d'autant plus réaliste ! C'est une photographie d'un couple à un moment M de son histoire.
Le sujet de l'homophobie, sans tomber dans les clichés, est super bien amené ! Et ça fait du bien !
Au niveau du jeu, j'ai rien trouvé à y redire ! Peut-être que les pleurs dans la voiture m'ont semblé un peu surjoués !
Mais c'est vraiment pour chipoter parce qu'au delà de ça, on a une scène de pleurs qui est parait tellement réelle à un moment donné que ça m'en a serré le cœur !
Mention spéciale pour la douceur qui se dégage de la "bed scene". Le cadrage est tout en subtilité !
En définitive cette série est juste ! C'est le mot qui décrit le mieux ce que j'ai ressenti : la justesse.
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makin excited tuh gue nontonnya. awal2 masih oke, eh pas di rumah sakit tu kaya😐😐 selain gelap2 karena keadaan rumah sakitnya dan orang2 yg bandel (biasanya ada di film2 horor) ga ada yg spesial sih di film ini. cuma menang jump scare sama teriak2 doang asli WKWKW ga terlalu recommended lah, tp kalo lu mau nonton ya silakan aja si ga jelek2 banget kok. ini gue review kaya gini krena gue awalnya udh berekspetasi lebih sm ni film, jadinya gitu deh dikecewain banget rasanya😢
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akhirnya gue decided buat nonton. dannnn INI BAGUS BANGETTTT. gue suka chemistry si female lead sama cwok penjahat itu adh gue lupa deh namanya. intinya itu org berdua gue suka bangettt, sama2 keren actingnyaaaa😻👏🏻
dan ini rada plot twist di akhir, pas diceritain dari pov si female lead😌 recommended buat yg suka mystery/action👍🏻
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juga jugaaa, di ending gue kaget banget sih. kaya ga sesuai sm yg gue pikirin tp mnurut w itu udh jalan terbaik buat si cwek ini. jd yyy overall bagus banget, recommended tp bukan buat dicontoh pas ujian y kk
deg2an nya dapet juga, apalagi sistem ujiannya ketet gitu aaaa berasa ikut ujian pdhl mah kagak rebahan doang di rumah😌
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