Reviews

Uma desilusão

Depois de muito tentar lá encontrei na net o filme, estava curiosa pois estou a ver o drama coreano .

O filme, tal como disse, é uma desilusão! A actriz principal faz papel de histérica , a actuação de todos os actores deixa muito a desejar. A única coisa que é melhorzinha é a música. Todavia, não se compara ao drama coreano começando pelos actores, os quias no Kdrama são bem melhores, seguno pela história que é mais credível e acabando na música a qual é fantástica.
Se estiver a ver "So I married an anti-fan" e espera que o filme seja bom desengane-se, nem vale a pena ver!

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Deixou muito a desejar, mas não foi péssimo.

Ah... O que dizer sobre este filme?

Ele poderia ser muito mais. Tem uma história e tema bons, porém não são bem executados e acaba tendo muitos furos no enredo. Caso tivesse uma duração maior e uma produção melhor, acredito que melhoraria drasticamente a pontuação. A música e os figurinos são bons, os atores deixam a desejar em algumas partes, mas nada muito grave.

A questão é que quase não deu para entender a história. Somos apresentados logo no início ao casal principal e nisso, outros personagens que você não conhece e não são desenvolvidos, tomam cena e nos deixam imaginando o que está acontecendo. Cenas colocadas no meio do filme sem explicação alguma, trechos com começo e sem final, personagens não muito desenvolvidos... diria que para um filme de 2020, a produção deixou muito a desejar, apesar de não ser péssima.

É bom para quem quer passar o tempo de maneira rápida e no mínimo, divertida; mas se você está procurando algo muito bom para se surpreender, definitivamente não recomendo.

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Simplesmente meu drama favorito de todos.

"His" é perfeito, não estou nem brincando ou forçando, é simplesmente perfeito e nunca vou superar. Eu amo como o filme retrata a homofobia, o divórcio e papéis de gênero de uma forma muito perspicaz, bem pensada e executada. A atuação é ótima e no ponto certo para te fazer se apaixonar e se envolver com a história e com os personagens. A fotografia é estonteante. Um ponto que gostei bastante é que no fim, diferente de muitos dramas boys love por aí, a gente não fica com raiva da protagonista feminina, confesso que de inicio senti uma raivinha, mas depois entendi o lado dela, e no fim foi lindo demais ver a maturidade de todos. O filme é ainda melhor se você assistir a primeira parte "his - i didn't think i would fall in love", eu infelizmente assisti a segunda parte primeiro, mas enfim, perfeito.

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pas, gak berlebihan.

salah satu film korea yang gue suka banget, nyeritain tentang kelompok persahabatan dari sma yang 'reunian' lagi bertahun-tahun kemudian. plotnya ok dan untungnya eksekusinya ciamik.

film ini menunjukkan bahwa masa depan bisa jadi sangat berbeda sama apa yang kita harapkan. karakter-karakter disini punya charmnya masing-masing dan relatable. keberhasilan karakter-karakter disini gak lepas dari akting-akting para aktor dan aktris yang totalitas dan keren.

ceritanya juga gak punya konflik yang sangat berat yang bikin kita mikir, rather, kita dibikin nostalgia dan kangen sama temen-temen di masa lalu.

semuanya pas, gak berlebihan.

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Une tuerie visuelle!

Une magnifique découverte ! Amateur d'univers de fantasy, de RPG et de manga, n'hésitez pas à donner sa chance à ce film au visuel incroyable.

"Dream Of Eternity" raconte l'histoire de Qing Ming en route vers la cité impérial où il est attendu pour la cérémonie du ciel, ainsi que 3 autres maitres. Qing Ming et les 3 autres maitres, Bo Ya, Long Ye et He Shou Ye ont la mission d'enfermer pour de bon un serpent démon. Durant la cérémonie, une crise survient mettant à jour une vérité profondément cachée.
"The Yin Yang Master : Dream of Eternity" est sorti en décembre 2020, peu de temps avant son concurrent (plus que) direct : "The YinYang Master" ( février 2021).

"Dream of Eternity" est une adaptation du roman "Onmyouji", un roman japonais écrit par Baku Yumemakura en 1986. Un roman à succès qui connaitra une adaptation en manga, en 13 volumes, du même nom et illustré par Okano Reiko paru de 1993 à 1995. Il y aura aussi un jeux vidéo, "Onmyoji" développé par NetEase et qui verra le jour en 2018 en France.
Ce film a été réalisé et écrit par le réalisateur Guo Jing Ming (le plus jeune scénariste à rejoindre l'association des écrivains en Chine) et est donc la 3ème adaptation de l'oeuvre de Yumemakura, les 2 premiers sont quant à eux des films sortis au Japon en 2001 et 2003.
"The Yin Yang master : Dream of Eternity" a bien failli ne pas voir le jour suite à des plaintes et un appel au boycott à l'encontre du réalisateur pour plagiat. Le coeur du conflit se trouvant être la technique de téléportation de Qing Ming similaire à celle de "Doctor Strange" (Marvel). Le film sortira finalement après ses déboires sur grand écran (ainsi que sur Netflix) et se placera 5ème dès sa sortie.

Si plagiat il y a, je ne saurais vous le dire à quel point car je ne connais pas très bien l'univers de "Doctor Strange", il serait tout de même dommage selon moi de passer à côté de cette oeuvre visuellement superbe.

Je ne pensais pas un jour découvrir un film chinois aussi beau visuellement (et pas que). Les effets spéciaux ont été confiés à un studio coréen spécialisé dans l'animation et les effets spéciaux, 4Th Creative Party, qui ont travaillé notamment sur "Okja", "Snowpiercer" et "Peninsula".

Le résultat est bluffant. Les images sont magnifiques. Les couleurs nous feraient presque croire à un tableau ! la composition sombre faite de noire et tous ses dérivés sont étrangement chatoyantes. Par exemple, Bo Ya tout de noir, se fondant dans un décor flirtant avec le lyrisme sombre de la nuit d'une façon grandiose ou la ville vue de haut illuminée de tous ces détails lumineux et ces dégradés de noir et de jaune sont absolument magnifiques. Les couleurs bien que souvent sombres sont chaudes et colorées (oui un paradoxe, n'est ce pas?). Ne sont pas en reste les costumes et le maquillage qui subliment les personnages. Je pense à l'apparition de la princesse Zang Ping toute de rouge et judicieusement maquillée à outrance. Le costume de Bo Ya ou celui de la princesse Zang Ping durant les dernières scènes qui jusque dans les détails et les mouvements des tissus sont à couper le souffle. Tout le film est un régal pour les yeux, tout est maitrisé et pensé comme une oeuvre d'art.

Les combats. Nous savons déjà que les chinois possèdent une maitrise certaine dans la chorégraphie des combats. Ici point de mauvaise surprise. Tout est fluide et savamment orchestrée. L'action ne s'essouffle pas. Il n'y en a ni trop peu, ni trop tout court. Contrairement à ce que j'ai pu lire, le film n'est pas axé dans une action agressive et "show off". L'action est trépidante et rondement menée mais pas omniprésente, et le combat final d'autant plus dramatique que sublimé. Cette apparition de Bo Ya, à tomber par terre (dixit la fan girl que je suis), nous en jetant pleins les mirettes avec son torse (hihi) nu et ses ailes noires m'aura prise de court. C'est donc avec gourmandise que nous pouvons suivre ce fight de haut vol avec He Shou Ye. C'est aussi la première apparition de Bo Ya et son duel avec avec Qing Ming qui m'aura de suite convaincue.
Dois-je le dire? Mais j'ai adoré les invocations des maîtres gardiens. Pour une joueuse de la saga des FF que je suis (du moins jusqu'à FF12), cela a été euphorique de voir ces invocations et les apparitions magiques de ces maîtres gardiens. Le pire dans tout cela? On en redemande car il n'y en a pas assez! Et puis zuteuh quoi, ils ne sont là que si peu et j'ai réussi à m'y attacher horriblement. Je n'en dirai pas plus.

Mais au-delà de ce combat éternel entre le bien et le mal, c'est aussi un drame dans les coulisses qui se joue, une tragédie que nous sentons vaguement venir et qui sera l'apothéose du récit.
Chaque personnage a un passé qui détermine ses gestes et son attitude. N'ayant pas (encore) lu le roman ou le manga, je ne peux donc que me reposer sur ce que montre le film. Et ce fut suffisant pour vouloir en apprendre plus.
Nous découvrons au fur et à mesure que la motivation des crimes perpétrés n'est autre (ce n'est plus surprenant) que le lien intemporel entre deux personnages (je ne les nommerai pas afin d'éviter le spoil).
Et c'est un exercice difficile que de dépeindre autant de richesse émotionnelle en 2 heures.
2 (petites) heures pour nous faire comprendre le lien qui unit Qing Ming et Bo Ya. Les aimer. Et les accompagner.
Si peu pour nous conter une romance tragique.
Nous avons pu entrapercevoir le passé tragique de Bo Ya et de Qing Ming. Et ce fut presque une réussite.
Je dis presque, car j'aurais adoré en savoir plus. Surtout Bo Ya....peut-être dans la suite à venir.

Et le casting? Qing Ming, interprété par Mark Chao, est un personnage raffiné, tout en "douceur" avec un humour discret et une assurance tranquille. Son acolyte, Bo Ya, interprété par Deng Lun (mille fois whoaaaaa), a au contraire une attitude rigoureuse et droite (un party pooper comme dirait mon chéri). Dès le départ en opposition, que cela soit au niveau de leur caractère ou de leur essence même (Qing Ming est mi-humain mi démon et Bo Ya un chasseur de démon), leur relation prend rapidement de la profondeur jusqu'à l'ultime geste d'amitié (ou d'amour, tout dépend de ce que l'on veut voir) entre Qing Ming et Bo Ya. Les dialogues, un mélange de taquinerie et d'humour, sont savoureux. La tournure que prendra leur relation se fait tout naturellement et nous oblige à nous y attacher involontairement.
Long Ye est un personnage intéressant mais très peu (et trop vite disparue) exploitée. Espérons que dans la suite à venir, qui porte son nom, on en apprenne plus.
Le jeu d'acteur est à la hauteur de ce qu'on peut attendre d'une superproduction de cette envergure. Si vous ne le savez pas encore, je suis une admiratrice de Den Lun depuis "Ashes of Love" (son jeu d'acteur, sa voix terriblement sexy et puis accessoirement son joli visage) et j'étais plus que ravie de le retrouver ici. Un rôle qui lui va comme un gant tout comme pour Mark Chao (que je connais moins).

l'OST de ce film a été confié à un compositeur japonais, Kenji Kawai, connu notamment pour sa collaboration avec Mamoru Oshii (Ghost in the Shell). Mais il a travaillé aussi sur "Maison Ikkoku" (Rhâ ma jeunesse!), Ranma 1/2, la saga des Patlabor entre autres. Cela serait vraiment trop long de citer ses travaux, il y'en a beaucoup ; c'est donc un des compositeurs les plus connus avec Joe Hisaishi et cela se ressent sur la qualité du film. L'OST colle parfaitement à l'ambiance du film ainsi que la chanson du film interprétée par Den Lun, "Infatuation Tomb" (magnifique chanson).

Le budget alloué au film a été conséquent et cela transpire abondamment durant tout le visionnage. D'ailleurs il est à noter que la quasi-totalité du film a été tourné dans le studio "Hengdian World Studios", le plus grand studio de cinéma au monde. Y a été tourné "Empress Ki" le drama coréen, "Crouching Tiger Hidden Dragon" ou encore la superproduction "Mulan" de Disney. "Hengdian World Studios" est par ailleurs un parc d'attractions, un peu comme "Universal Studio" à Los Angeles.

Ce film est presque un sans faute, une histoire touchante où personne n'est vraiment mauvais ou bon. Une superbe photographie avec une palette de couleur incroyablement vivante. Je reste encore émerveillée de la beauté des costumes et de la façon chatoyante dont les plis dansent, on croirait que tout possède une âme. La chorégraphie y est magistralement orchestrée et la musique apporte la touche épique qui rend l'oeuvre d'autant plus émouvante. Les dialogues sont parfois drôles et parfois d'une sagesse étonnante.

Un must to see selon moi

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one of the best films I've watched in this quarantine!!

aku nonton film ini kira-kira di bulan agustus dan suka banget!! at that time aku lagi stress banget karena pandemi ini dan nyoba nonton ini karena pemainnya yoo ah-in sama park shinhye.

ngeliat gimana stressnya junwoo gak bisa keluar rumah karena ada zombie dan gak bisa berinteraksi sama manusia lain bikin ngerasa relate banget dengan keadaan kita di masa pandemi.

dan ya, ada beberapa pertanyaan yang belum terjawab buat aku kaya "gimana cara bapak di lantai 8 ngasih makan istrinya selama ini?" dan lain lain tapi overall gak ganggu banget ke ceritanya sih.

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Una historia con un poco de todo

Chameleon me pareció una película muy interesante con un potencial de haberse ejecutado de una mejor manera. Fuera de eso, es una muy buena película que empieza mostrándonos la vida criminal de unos chicos, quienes luego se involucran en algo mucho más peligroso de lo que normalmente lidiaban, sin embargo, hay sorpresas adicionales, un poco de romance muy bien ejecutado, las escenas de acción son buenísimas, hay algunas escenas graciosas, un poco de suspenso, pero también hubieron algunas escenas innecesarias. Parte de lo que me parece que pudo haber sido mejor, es que toda la acción de la película se concentró en los últimos 30 minutos, escenas de acción espectaculares, pero la primera hora es un poco lenta, y se enfoca más en conocer la vida cotidiana de los personajes.

Fujiwara como siempre dándole profundidad y misterio al personaje, desde que comienza la película uno sabe inmediatamente que hay algo más en su personaje de lo que aparenta, y las sorpresas al final no decepcionan, también como siempre Fujiwara hizo unas excelentes coreografías de pelea, muy intensas y reales. Me encantó ver a Asami en el papel de una chica enamorada, me pareció que hubo muy buena química. El otro que me encantó fue Toyohara como líder de los villanos, siempre hace muy bien ese tipo de papeles rudos. Los otros personajes no dejaron mayor impacto a excepción de una chica que tuvo muy buenas escenas de pelea aunque fueron cortas, dejaron una fuerte impresión.

La música de la película no me impresionó mucho, me pareció normal, nada memorable.

En general es una película que lo mantiene a uno interesado, y pues esperando que llegue la acción, ya que desde el inicio es obvio que toda la situación va a estallar y uno se mantiene muy atento esperando que eso ocurra. Creo que es una película que al menos los fans de Fujiwara deben ver, y está bien para pasar el rato.

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Miseria umana

La trama è ben tessuta, l'intreccio è apprezzabile e anche la recita è buona. Ma che brutto oggetto ! Che lurido contenuto!
Qui i poveri sono descritti senza dignità, senza rispettabilità : sono sguaiati, maliziosi, ingannevoli, puzzolenti per scelta ; in altre parole un inno di disprezzo e contrarietà ai non abbienti, e un canto di lode alla rettitudine del benestante.
Il film è tutto un contrasto sulla bellezza del ricco e sulla ripugnanza del povero : villa splendente di pulizia contro laida e ammorbante catapecchia - qui , essere poveri diventa sinonimo di sozzura fisica e morale , essere benestante è, qui, sinonimo di lindezza- piani maligni del povero che sfrutta e candore fiducioso del generoso benestante, menzogna studiata del non abbiente e apertura genuina ingenua dell'abbiente.
Naturalmente le lordure sono tutte dalla parte dell'indigente e l'integrità e la rettitudine sono tutte dalla parte del facoltoso.
Servi disprezzabili e padroni ammirevoli, a questi va il "respect" come dice il miserabile che vive nello scantinato.
Certo che lo scenografo ha una pessima immagine di chi non ha da vivere comodamente e il regista gli dà manforte.
Ed è in buona sostanza una mentalità diffusa in Corea se penso alle rappresentazioni sociali in altri dramma coreani . Mi sembra una società in cui serpeggia la separazione fra caste.

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Suivez une séance d'exorcisme avec le Père Kim.

Je suis depuis quelques jours dans une mouvance « exorcisme » avec le drama « Let’s Fight Ghost », le film « The Divine Fury » & maintenant « The Priests ». Comme pour « The Divine Fury », ce film n’a pas réellement su me convaincre. Si le premier aborde l’exorcisme de façon plus trash « visuellement » celui-ci l’aborde de façon « psychologique » (Oui bon, il y a des scènes avec plein de sang… Mais soyons honnête, ce n’est rien comparé à « The Divine Fury » !)

Bref introduction : Nous suivons un jeune diacre qui devient l’assistant d’un exorciste. Ceux-ci font face à un cas difficile puisqu’une jeune femme est possédée par un démon vieux de plusieurs siècles. De plus, ce dernier à la possibilité d’avoir accès aux souvenirs de toute personne avec qui il rentre en contact visuel. (Vous imaginez bien que cela se révèle des plus éprouvant ^^)

Les personnages :
• Le jeune diacre est un personnage des plus tourmentés puisqu’il se sent coupable de ce qui est arrivé à sa sœur lorsqu’ils étaient enfants… La souffrance l’a poussé à devenir prêtre afin d’expier « sa lâcheté ». (J’avoue avoir ressenti un peu de pitié à son égard, il n’était qu’un enfant lorsque l’incident c’est produit… Comment aurait-il pu, dans un état de peur, prendre conscience que son choix entraînerait la mort de sa petite sœur…)
• L’exorciste : Nous ne savons pas grand-chose de lui, pour ne pas dire que nous ne savons rien… Mis à part qu’il connaissait la jeune femme possédée…
• La jeune fille possédée est une personne d’une grande force mentale qui tente de retenir le démon en elle… Bien que son corps et son esprit se détruisent au fur & à mesure de sa possession, elle ne permet pas au démon d’agir à sa guise.

Ce film comme pour « The Divine Fury » n’apporte rien de nouveau au genre, cependant, tout comme ce dernier, il n’est pas désagréable à voir une fois.

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Le combat du "bien" contre le "mal"

J’ai regardé ce film pour son genre horrifique & le fait qu’il s’agit d’exorcisme ^^ (Après, vu que j’ai vu pas mal de films/séries sur le sujet, il est vrai qu’il est rare qu’ils arrivent à se démarquer par rapport à leurs prédécesseurs.)

Ce film est assez classique en soit, on retrouve un jeune homme qui ne croit pas en Dieu (enfin, qui se convainc qu’il ne croit pas en lui x’D) mais qui se retrouve avec un stigmate permettant de libérer les personnes possédées. Dans sa quête pour libérer la colère qu’il a envers Dieu, il rencontre un prêtre exorciste avec qui il se liera. Nous suivons donc le parcours de ce dernier afin de libérer Séoul du « Prêtre Noir » (ou prêtre sataniste ^^).

Vous l’aurez donc compris, il n’y a rien de bien original dans ce film. Le schéma est assez classique, seul le stigmate présent sur le héros change de ce que j’ai pu voir. (Assez glauque le stigmate d’ailleurs :o ! La plaie est vilaine et saigne les ¾ du film ^^’)

C’est un film qui n’est pas déplaisant à regarder. Cependant, si vous êtes fan du genre, ce dernier ne vous apportera rien de plus que ceux que vous avez déjà pu voir ^^.

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Rubis de sangue

PARABÉNS aos envolvidos!!

Essa trama tem um pingo cômico e um beijo de fazer suapirar profundamente. Nao esperava essa estoria , sem comparação com nenhum filme de vampiros, mas faltou um contexto mais profundo. Claramente ela tem uma paixao no passado.
Todo o filme se passa em volta da maquiadora que achei muito pobre não mostrar esse lado com mais capricho, o filho da proprietária retrata pontos importantes sobre preconceitos, area de trabalho . Ficou um gosto de quero mais com o final improvável, poderia ter segunda parte.
Faz refletir sobre tempo, amor, amizade.

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